Yochk'o SEFFER
Peintures et sculptures sonores
Né en Hongrie en 1939 et réfugié en France en 1956, Yochk'o Seffer est un élément atypique et essentiel du paysage musical de ces cinquante dernières années. Compositeur, improvisateur, peintre, sculpteur y compris de ses propres instruments, fondateur ou co-fondateur de groupes comme Perception, Zao, Neffesh-Music ou Yog, il a été également membre de Magma.
Pour Yoshk'o Seffer, la peinture est de la musique qui se voit.
"Plus on veut être libre, plus on est ordonné, ainsi, j'ai besoin d'une structure pour la démolir, la contredire, exprimer le non qui est dans le oui."
Au début de la création de Yochk'o Seffer, il y a toujours l'inspiration, l'idée. Elles donnent à sa peinture la structure interne, l'ordre et la loi, qu'il invente pour ne pas être perdu dans l'univers auquel il est confronté. Le corps humain, celui de la femme, notamment, est, pour lui, l'objet le plus immédiatement intéressant, car le plus sensuel, le plus désirable et le plus poétique. Yochk'o y cherche l'universel de la vie, dans un particulier remontant à ses origines paysannes hongroises.
Yocho' Seffer - Didier Malherbe - François Causse
Depuis le 10 mars et jusqu'au 2 avril a lieu l'exposition Yochk'o Seffer à la galerie Hélène Nougaro à Paris.
Le saxophoniste Yochk'o Seffer est né le 10 juillet 1939 en Hongrie. Son père était clarinettiste soliste de l’Opéra de Miskolc sa ville natale. C’est après la Libération, à l’âge de six ans, qu’il commence véritablement l’apprentissage de la musique. Réfugié en France en 1956, Yochk'o Seffer est un élément atypique du paysage musical de ces cinquante dernières années. Compositeur, improvisateur, peintre, sculpteur y compris de ses propres instruments, fondateur ou co-fondateur de groupes comme Perception, Zao, Neffesh-Music ou Yog, il a été également membre de Magma.
Pour Yochk'o Seffer, la peinture est de la musique qui se voit. « Plus on veut être libre, plus on est ordonné, ainsi, j’ai besoin d’une structure pour la démolir, la contredire, exprimer le non qui est dans le oui. »
Au début de la création de Yochk'o Seffer, il y a toujours l’inspiration, l’idée. Elle donne à sa peinture la structure interne, l’ordre et la loi, qu’il invente pour ne pas être perdu dans l’univers auquel il est confronté. Le corps humain, celui de la femme, notamment, est, pour lui, l’objet le plus immédiatement intéressant, car le plus sensuel, le plus désirable et le plus poétique.
Il sort parallèlement un album en duo avec le percussionniste François Causse, « Hangosh, L'Homme Primitif » chez Quart de Lune (dist. UVM)